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Vendredi matin, quand j’ai reçu un SMS me proposant une petite expédition pour aller admirer les formations de glace sculptées par les vagues, le froid et le vent sur les rives du lac de Neuchâtel, j’ai eu une brève hésitation.
J’avais du travail, des choses « importantes » à faire. Ce n’était pas raisonnable, j’avais d’autres priorités. Mais j’en avais aussi terriblement envie, de cette balade sous la neige.
Alors j’ai dit zut.
Oui j’avais du travail. Mais rien de si important, en réalité. Rien qui ne pouvait attendre le lundi suivant.
Parce que profiter de cette beauté irréelle et éphémère que la nature avait décidé de nous offrir, c’était peut-être bien ça, ce jour-là, la priorité.










